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GNWA - Gonzalo Neri & Weck Architekten GmbH
Förlibuckstrasse 10
8005 Zürich, SCHWEIZ
mail@gnwa.ch
Design graphique
Mähler & Brandt GbR
Carina Mähler / Dominic Brandt
L’architecture de GNWA est née de la tension de deux notions, le spécifique et le générique. Le spécifique décrit le projet au-travers de son programme, de son site, de son contexte. Le générique s’inscrit dans une permanence, en ce sens, on envisage le futur, en s’appuyant sur le passé afin de construire le présent.
Les projets développés permettent de mettre des éléments en cohérence grâce à la structure, moyen fondamentale d’exprimer des spatialités fortes et résistantes dans le temps. GNWA construit pour la collectivité, chaque décision est intelligible et rationnelle, permettant à tous d’y avoir accès.
VOTRE PROFIL
Les compétences requises sont d’avoir finalisé au minimum 4 semestres d’études, de posséder de bonnes connaissances d’Autocad et Rhino et une très bonne maîtrise du français et/ ou de l’allemand. Nous attendons de vous que vous ayez un esprit d’analyse et de conception développé ainsi qu’un excellent sens de la représentation graphique de l’architecture.
NOUS OFFRONS
Nous proposons d’effectuer des tâches stimulantes, variées et à responsabilités au sein d'une équipe jeune et dynamique, ainsi que la possibilité de participer à des concours et des projets passionnants et exigeants sur le plan architectural. Nous nous réjouissons de recevoir votre dossier de candidature avec CV et références de travail sous forme digitale (max.10MB, pas de liens web) à : jobs@gnwa.ch
Les postulations au format papier sont également acceptées mais elles ne seront pas renvoyées. Elles pourront toutefois être récupérées directement au bureau sur rendez-vous. En raison de la quantité de candidatures à traiter nous ne pouvons malheureusement pas y répondre à toutes, merci de postuler seulement si vous correspondez au profil recherché.
VOTRE PROFIL
Les compétences requises sont au minimum 3 ans d'expérience professionnelle en Suisse dans le domaine de l'exécution et de la gestion de projets complexes, une très bonne connaissance des normes et des lois suisses ainsi qu’une maîtrise des logiciels informatiques (AutoCAD, excel,…). Nous attendons également un engagement, un vif intérêt pour l’architecture et des compétences créatives. Une maîtrise parfaite du français tant à l’oral qu’à l’écrit est indispensable pour ce poste.
NOUS OFFRONS
Nous proposons un poste d’architecte dans un environnement jeune et dynamique avec des responsabilités pour le développement d’un projet ambitieux et passionnant. Nous nous réjouissons de recevoir votre dossier de candidature avec CV et références de travail sous forme digitale (max. 10MB, pas de liens web) à : jobs@gnwa.ch
Les postulations au format papier sont également acceptées mais elles ne seront pas renvoyées. Elles pourront toutefois être récupérées directement au bureau sur rendez-vous. En raison de la quantité de candidatures à traiter nous ne pouvons malheureusement pas y répondre à toutes, merci de postuler seulement si vous correspondez au profil recherché.
GNWA
Gonzalo Neri & Weck
Architekten GmbH
Förrlibuckstrasse 10
8005 Zürich
mail@gnwa.ch
+41 (0) 44 461 44 22
La parcelle prévue pour accueillir les différentes activités de la société Viteos SA dispose d’une situation stratégique située au point de confluence de plusieurs axes routiers. Cette situation, en plus d’être essentielle au fonctionnement de la société, offre une grande visibilité au site.
Le projet est formé par deux typologies distinctes, le socle et la barre. Le socle contenant les ateliers et dépôts vient s’ancrer contre le terrain et propose une surface horizontale sur laquelle repose le bâtiment administratif qui s’élance verticalement pour marquer la région par sa présence.
Cette composition est une réponse efficace aux enjeux du site et à l’empreinte que l’entreprise Viteos SA souhaite apposer à la ville via son image.
Le projet souhaite mettre en évidence les différents secteurs et activités développés par l’entreprise Viteos SA. Le concept architectural propose donc de développer un bâtiment comme une vitrine transparente dans laquelle chaque activité de l’entreprise est mise en valeur et visible depuis les différents niveaux.
L’aspect du bâtiment doit également refléter les recherches et possibilités que représentent les énergies renouvelables et le développement durable pour en faire un édifice exemplaire.
concours:
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Davide Lazzari, Silvia Toninello, Giulio Rosi
projet:
Marco Neri, Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck avec:
Davide Lazzari, Gonçalo Vilhena, Thomas Compeers, Costanza Eboli, Lea Muttoni, Eric Abadias
Direction des travaux: Quartal Vevey
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
BIM-Planer: Betelec SA
planificateur CVS: Weinmann-Energies SA, Ingénieurs-Conseils
planificateur E: Betelec SA
acousticien: EcoAcoustique SA
sécurité feu: Betelec SA
physique du bâtiment: Effin’art Sàrl
mobilité: Transitec Ingénieurs-Conseils SA
La parcelle pour le concours du nouvel EMS de la fondation Les Châteaux, se trouve en borduredu village de Goumoëns-la-Ville. Ce site se caractérise par un contexte rural hétéroclite qui lui donne un caractère singulier et particulièrement intéressant.
A l’ouest, la parcelle est longée par la Route du Château le long de laquelle différentes bâtisses, dont un ancien château et une maison seigneuriale, prennent place. Ces bâtiments historiques, disposés en ordre contigu, forment un ensemble et dialoguent à la fois avec la route et le parc dont ils définissent la limite à l’ouest.
Les bâtiments existants se caractérisent par une articulation complexe de corps indépendants, de faible hauteur, disposés dans un axe nord-sud. Plusieurs bâtiments ont été rajoutés au fil du temps, en ordre contigu au château, résultant en un conglomérat complexe.
En s’inspirant du système de bâtiments actuels, le projet propose de marquer une coupure temporelle et de construire son identité propre tout en assurant son intégration au sein de l’ensemble bâtit caractérisant le lieu.
Ainsi, l’implantation pour l’agrandissement de la Fondation Les Châteaux propose deux volumesdistincts, reliés par un socle. Ce nouvel ensemble clarifie le contexte et les limites entre le parc, les bâtiments historiques et la route.
La topographie du site permet de générer deux niveaux de référence : un rez inférieur, se présentant sous la forme d’un socle, avec accès depuis le sud et un rez supérieur, composé des deux volumes, offrant un accès direct au jardin.
Le projet, avec sa géométrie variable, est organisé afin d’offrir aux résidents des espaces communs en lien avec les espaces extérieurs, leur permettant ainsi de profiter des dégagements visuels vers le sud et des jardins situés au nord.
Le rez-de-chaussée inférieur est constitué du programme destiné à l’ensemble de l’institution.L’ensemble de ce programme est distribué par un espace commun qui traverse le nouveau bâtiment et qui, grâce à sa transparence et sa perméabilité, crée une ouverture sur le paysage etl’espace d’entrée situé au sud. Ce lieu de vie et de mixité sociale épouse la géométrie de l’édifice et se dilate afin d’accueillir le hall d’entrée et la terrasse. La terrasse se situe au centre du projet pour accentuer le lien avec l’espace d’entrée.
Chaque corps de bâtiment accueille deux unités d’accompagnement de 24 lits par étage. Les deuxvolumes, bien que pensés différemment, se disloquent pour accueillir une unité de vie à chacune de leurs extrémités. La cassure volumétrique, en plus de sectoriser chaque unité, donne un accès direct sur les jardins. Les couloirs, qui distribuent les chambres, se dilatent dans les angles concaves du volume pour former l’espace commun avec le salon et la salle à manger. Les salles à manger, situées dans la partie centrale, sont orientées vers le sud tandis que les séjours, tournés vers le parc, proposent un accès direct à celui-ci à travers l’espace couvert.
Ces espaces offrent, à leurs extrémités, des vues sur le contexte et profitent de différents types de lumières tout au long de la journée. Le centre de chaque volume est formé par l’ensemble des espaces accueillant lesservices communs à l’ensemble de l’unité.
Concours:
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri mit:
Laura Sanchis Estruch, Davide Lazzari, Silvia Toninello, Marine Lachat, Kelvin Silva
Projet:
Marco Neri, Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck mit:
Andrea Marrodan, Nicolò Lastrico, Anita Gustuti, Lea Muttoni, Valmira Haziri, Valentin Cahierre, Beatrice Dini, Silvia Toninello, Aude Rabier
Direction des travaux: Quartal Vevey
Ingénieurs civil: AB Ingénieurs SA
Architecte paysagiste: Plangrün AG
Planificateur CVS : Energa Sàrl, BA ConsultinG SA
Planificateur E: srg engineering Ingénieurs-Conseils Scherler SA
acousticien: d’Silence Acoustique SA
Sécurite feu: Fire Safety & Engineering SA
Physique du bâtiment: Weinmann-Energies SA Ingénieurs-Conseils
Mobilité: Citec Ingénieurs Conseils SA
L’implantation précise et minutieuse de trois volumes dans la pente induit, en coupe, plusieurs niveaux de référence et d’accès, en lien avec le contexte. En plan, cette composition délimite des espaces extérieurs clairement identifiables.
Au centre de cette composition, à la manière d’une agora, le préau principal devient un pôle majeur de rencontre. Il est imaginé comme une prolongation de la place publique située au sud et renforce la diagonale qui traverse le site. De ce coeur, on atteint d’autres espaces communs extérieurs d’utilités diverses pour les élèves.
Les trois volumes, bien que distincts, reprennent un vocabulaire semblable renforçant cette notion d’ensemble recherchée. Leurs formes trapézoïdales, marquant la structure linéaire des bâtiments d’habitation tout en intégrant les contraintes géométriques du site, génèrent des espaces et des géométries dynamiques.
La répartition du programme en trois corps de bâtiment permet de traiter chaque spécificités en fonction. Les grands programmes tels que la salle de gym, l’école enfantine et l’école primaire prennent place chacun dans un volume. Les différents accès aux bâtiments autant par les rez inférieurs que les rez supérieurs, créent une véritable perméabilité dans le site et une accessibilité facilitée.
A l’intérieur, ce sont les espaces de circulation qui absorbent les différences de géométrie, donnant lieu à des dilatations bienvenues dans ces espaces qui deviennent plus que des couloirs.
Malgré la singularité de chaque bâtiment, ceux-ci font parti d’un ensemble et c’est la composition de façade, semblable aux trois volumes, qui fait le trait d’union et finit d’unifier le projet. La façade est conçue comme une ossature, mettant en avant les verticalités à la manière d’une colonnade.
Comme la composition volumétrique, la composition colorimétrique a également été étudiée. L’utilisation des couleurs rose, vert et gris, dans des tons doux voire pastels, assume la volonté de donner une identité propre à chaque volume. La couleurs devient une thématique et les trois éléments qui constituent la façade: la maçonnerie, les fenêtres et les stores sont déclinés dans les mêmes nuances.
concours:
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Laura Sanchís Estruch, Marina Esguerra Laudo
projet:
Marco Neri, Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck avec:
Silvia Toninello, Davide Lazzari, Lea Muttoni, Vittoria Altana, Lucio Luque, Valmira Haziri, Anita Gustuti, Nicolò Lastrico, Maribal González, Patricia Gude, Laura Sanchis, Rodrigo Mendoza
coûts: Tekhne SA
entreprise générale: EDIFEA SA
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
architecte paysagiste: L‘Atelier du Paysage Sàrl
planificateur CVS: Energa Sàrl, srg egineering Schumacher & CHIngS Ingénieurs SA
planificateur E: Bréa Ingénieurs Conseils Sàrl
acousticien: d‘Silence acoustique SA
sécurité feu: PluriExpert SA
physique du bâtiment: Energa Sàrl
éclairagiste: Aebischer & Bovigny
La volumétrie du nouvel édifice s’inspire très largement du contexte environnant. La Maison du Jardin est ainsi composée de trois volumes indépendants reliés par une toiture dont le faîte est continu.
Chaque angle du projet a été soigneusement étudié afin de répondre aux exigences contextuelles et fonctionnelles. La partie Sud du bâtiment réagit à l’échelle de la parcelle et propose trois grandes arêtes. Cette forme concave défini un espace central de référence où est aménagée la terrasse.
Le concept architectural de la Maison du Jardin est conçu pour offrir à ses résidents les marqueurs d’un véritable domicile. Pour y parvenir, le bâtiment se compose en trois “maisons” accueillant chacune un foyer: Lavande, Romarin et Mélisse.
Au rez-de-chaussée, le projet propose de relier les différentes activités de jour. Pour cela, un grand espace commun traverse tout le bâtiment. Grâce à sa transparence cet espace s’ouvre sur l’extérieur d’un seul geste. Ce lieu de vie épouse la géométrie de l’édifice et se dilate afin d’accueillir le hall d’entrée principal et la terrasse. Les noyaux des trois foyers sont également accessibles par le biais de cet espace.
La volumétrie, avec ses lignes brisées, permet à chaque foyer de profiter des différentes qualités paysagères que présente le site. Évitant tout vis-à-vis entre les chambres, ce système permet à chaque unité de bénéficier d’une bonne orientation afin de profiter des vues et de la lumière naturelle, tout en proposant une expérience singulière à chaque usager.
concours: Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Alberto Hueso.
réalisation: Marco Neri, Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck avec:
Laura Sanchis Estruch, Mathilde Loiseau, Silvia Toninello, Lea Muttoni, Marina Esguerra Laudo, Julien Graf, Valentin Schmid, Clemence Thimonier, Isis Girod.
direction des travaux: Pragma Partenaires SA
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
architecte paysagiste: GNWA
planificateur CVS: Sorane, CHings SARL (srg engineering)
planificateur E: Louis Richard Ingénieurs Conseils SA
acousticien: 'Silence acoustique SA
sécurité feu: Ignis Salutem SA
physique du bâtiment: Weinmann Energies SA
éclairagiste: Aebischer & Bovigny
La parcelle destinée à la construction du nouveau complexe culturel et sportif à Romont se caractérise par une pente homogène en direction du sud-est, offrant des vues sur le paysage des Préalpes fribourgeoises. Le programme demandé est organisé dans un seul volume compact, organisé dans une forme pure, le carré.
Cette figure géométrique dialogue avec les bâtiments du complexe scolaire attenant, tout en inscrivant une forme nette et définie dans le territoire. Dans l’objectif de préserver les caractéristiques urbaines existantes et ainsi de les renforcer, le nouvel édifice s’inscrit dans la partie Nord du site et ferme la composition urbaine de l’ensemble.
La toiture est travaillée comme une cinquième façade offrant une autre possibilité d’exprimer l’organisation interne du bâtiment depuis l’environnement extérieur.
Le projet se structure avec la superposition de trois éléments, le socle, le plan libre et l’étage.
Le socle en contact avec le terrain accueille les parties plus techniques du projet. Le plan libre accueille les parties publiques du bâtiment ainsi que les bassins.
L’étage conçu comme une grille de murs appuyé sur le plan libre accueille les salles de sport et de bien être dans la partie sud et le conservatoire dans la partie nord.
Le plan libre permet la transparence et la perméabilité des espaces vers le paysage extérieur.
En opposition l’étage renferme des espaces propices à la concentration et au travail, jouissant d'une atmosphère plus introvertie.
La structure est pensée de manière rationnelle tout en renforçant le concept architectural. Les trois éléments structurant le volume général du projet sont interdépendants. Le plan libre s’appuie sur le socle et les murs de l’étage reposent sur la grille de poteaux du plan libre.
La séquence des sous-espaces dans le plan libre est rendue lisible et compréhensible aux usagers grâce au système de poteaux et de linteaux mis en place.
Enfin, des doubles hauteurs ponctuelles amènent un apport de lumière secondaire pour les grands espaces.
Une structure secondaire en bois vient couvrir les grandes portées et permet elle aussi un apport en lumière zénithale, créant une atmosphère spécifique pour les baigneurs.
La façade montre clairement et radicalement les trois éléments qui structurent le projet et confèrent au bâtiment une élégance intemporelle. Le socle et l’étage sont conçus avec des façades opaques en metal galvanisé. Les ouvertures des pièces à l'étage ont été soigneusement étudiées et cadrent le paysage au fond.
Le plan libre est lu comme un espace transparent entre ces deux parties pleines et offre une vue panoramique à 360 degrés.
concours:
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri und Victor Figueras Corboud
projet:
Marco Neri, Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck avec:
Davide Lazzari, Silvia Toninello, Laura Sanchis Estruch, Vanesa Bijelic, Lea Muttoni, Yasha Rey-Ivan, Marina Esguerra Laudo, Mathilde Loiseau, Julien Graf, Valentin Schmid, Clémence Thimonier, Isis Girod, Denis Ferré
direction des travaux: Tekhne SA
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, ingénieurs conseils SA
architecte paysagiste: GNWA
planificateur CV: Tecnoservice Engineering SA
planificateur S: Duchein SA
planificateur E: srg engineering / Scherler SA
acousticien: D’Silence acoustique SA
Le site de Champs d’Aullie destiné à l’implantation de la future école primaire est situé au sud-ouest de la commune du Mont-sur-Lausanne. Le projet s’inscrit dans une volonté de la commune de densification urbaine, due à sa forte croissance démographique. La parcelle présente de nombreuses contraintes à savoir des lignes à haute-tension, des nuisances sonores provenant des routes importantes à proximité, une légère pente nord-sud ainsi que de nombreux arbres d’importance.
L’implantation d’une forme carrée libre dans la partie nord-ouest de la parcelle permet d’une part de répondre au tissu bâti hétérogène environnant, mais également de conserver le cordon boisé et la perméabilité nord-sud du site tout en prenant de la distance avec la route.
La topographie du site donne l’opportunité de créer deux niveaux de référence et ainsi deux entrées distinctes permettant la séparation des flux. Chaque niveau profite de son propre espace extérieur, à l’atmosphère différente et un niveau paysager intermédiaire est aménagé pour faire le lien.
Le programme de l’école est distribué dans quatre étages hors-sol et un sous-sol dans un volume compact. Le plan type est composé, en périphérie, par un anneau interrompu a deux reprises par des loggias.
En extension de celles-ci, des espaces polyvalents sont délimités par des boîtes de service. Points centraux du plan les escaliers deviennent une veritable promenade, dynamisant les espaces communs.
Une grande attention est donnée à la notion de développement durable dans toutes les étapes du projet, de l’implantation à la matérialité. La flexibilité, notion importante, est garantie par la structure en bois régulière et l’absence de paroi porteuse pour une modularité totale. Complétée par les loggias et les espaces polyvalents centraux, cette flexibilité devient d’autant plus riche en offrant ainsi la possibilité d’espaces d’enseignement et de jeux différents.
La structure et la façade en bois issu de la région, l’utilisation de la brique crue ou l’installation assumée de panneaux photovoltaïques, sont autant d’éléments qui en font un projet qui répond aux exigences de durabilité et d’exemplarité d’un bâtiment public. De plus, les concepts de ventilation low-tech qui utilisent les loggias et les puits de lumière centraux, les grandes surfaces vitrées et la végétation omniprésente dans le projet et sur le site, assurent aux enfants un confort global en toute circonstance.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Maxence Lelièvre, Cloé Sermier, Albert Jiménez, Juan Colomina, Anita Gustuti
Architecte paysagiste: Atelier Descombes Rampini sa
Le nouveau projet prévoit la construction d’un parking pour l’hôpital et une nouvelle crèche, deux activités diamétralement opposées, auquel il faut réconcilier le fonctionnement, les besoins, les dimensions et les nuisances. Ainsi, une structure habitée permet, d’un seul geste, de répondre aux complexités internes du programme proposé.
La position du bâtiment dans le site articule des espaces extérieurs, aux caractères divers, et aide à redéfinir les espaces extérieurs existants. Le projet génère, par son implantation, des aménagements prenant en compte les différents besoins des programmes, des espaces de jeux, des cheminements, afin de connecter les entrées du parking et de la maison de l’enfance à l’espace public.
Le décrochement créé par l’implantation distincte des deux bâtiments, permet d’identifier clairement l’entrée du parking tout en mettant à distance la Maison de l’enfance des nuisances sonores des véhicules motorisés, offrant un cadre sécurisé pour les enfants.
La structure se déploie comme une trame neutre en façade, composée de plateaux libres, permettant une grande flexibilité d’usage dans le temps. En effet, lorsque les besoins évolueront, la structure sera la seule constante du bâtiment.
Le projet propose des solutions simples et rationnelles qui permettent d’absorber l’ensemble du programme en respectant les spécificités de chacun. Il ne faut pas voir dans ce projet un bâtiment fini, mais au contraire une solution adaptable, modulable qui permet de répondre aux besoins actuels, mais également aux besoins futurs.
La notion de flexibilité a été le vecteur principal de décision lors de l’élaboration du projet. Le volume étroit, de 17 mètres, permet facilement d’envisager l’évolution des plateaux de parking en bureaux, en logement ou en locaux pour l’hôpital. Le fait de proposer une épaisseur standard permet d’envisager un grand potentiel évolutif, capable d’accompagner les réflexions dans le temps.
Le projet propose de travailler la notion d’identité, en dehors de celle du parking. Les décisions formelles ont conduit à réduire l’impact des éléments standards caractérisant l’image du parking. L’identité est générée sur un rapport à l’urbain, le bâtiment dégage une image forte grâce au principe de vagues, offrant un certain rythme à la façade.
Le projet se présente sous la forme d’un bâtiment contemporain, développant un vocabulaire spécifique. L’intégration de ce nouveau projet dans cet ensemble urbain est fait de manière naturelle et reflète l’image d’un bâtiment ayant son caractère, son identité propre.
Quant à l’extérieur, la façade non-construite permet la flexibilité d’usage dans le futur. Elle se caractérise par un filtre végétal qui change avec les saisons, offrant un ornement vivant et soulignant le caractère potentiellement éphémère du programme.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Anita Gustuti, Cloé Sermier, Juan Colomina, Albert Jiménez
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
L’implantation du nouveau bâtiment propose un volume compact et autonome qui s’insère dans le site en tenant compte des qualités paysagères et des différentes relations avec les bâtiments existants.
Le volume se positionne parallèlement au lac créant un nouveau dialogue visuel, jouant avec les reflets et les saisons.
Tel un bâtiment-écran devant le lac, le projet dégage ainsi une image forte et représentative de la nouvelle identité souhaitée pour l’UniHub. De plus, le réaménagement à venir du parc des Jeunes rives et du front du lac constitue un avenir plus sain et dynamique au développement de l’université. Le projet s'établit en continuité de ce geste unitaire.
Le concept mis en place pour ce projet propose trois couches horizontales successives. Ce système répond de manière pertinente aux exigences spécifiques de chaque espace.
Pour la première couche, celle au sud, le parti a été pris d'offrir la vue sur le lac au plus grand nombre et d'en faire des espaces privilégiés. Le Learning Center a été thématisé comme une véritable balade architecturale, se développant sur trois étages avec pour apogée, la terrasse panoramique. On emprunte le principe de la serre où les limites intérieures et extérieures se diluent, offrant des terrasses qui deviennent zones de partage en continuité des espaces de travail. De plus, des espaces en mezzanine, un effort sur la structure ou encore un traitement intérieur différent donnent à cette partie son caractère d'exception. De l'extérieur, elle apparait comme un écran diffusant un large panel d'activités représentant le monde académique et offre ainsi la meilleure des vitrines.
L'espace central agit comme un joint séparant les deux programmes. Il se définit sous la forme d'un atrium ouvert, sur toute la hauteur favorisant les vues qui se croisent à-travers les niveaux, créant un espace dynamique propice à l’échange entre les différents intervenants. Le reste du programme est distribué dans un premier anneau le long de la façade selon la profondeur des espaces souhaités. Un deuxième anneau interne se développe lui autour d'un patio aménagé et généreux.
Le projet tend à mettre en évidence les nouvelles activités développées par l’université. Le bâtiment devient une vitrine depuis l’extérieur dans laquelle chaque activité est mise en valeur. Des connexions internes sont aussi établies par les différents vides.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Cloé Sermier, Anita Gustuti, Maxence Lelièvre, Davide Lazzari, Juan Colomina
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
Die Parzelle für die Erweiterung des Alterszentrums Adlergarten weist einen hohen historischen Wert sowie eine grosse Bedeutung für das Quartier auf. So wirkt der Adlergarten als Oase der Erholung für die Nachbarn im Quartier und die Bewohner des Alterszentrums.
Der Wettbewerb bietet die Möglichkeit einer Neuinterpretation und Wiederbelebung des einstigen Charakters und eines Neubaus, welcher mit dem Bestand in einen Dialog tritt und die unterschiedlichen Gebäude und Aussenräume des Ortes respektiert.
Der Neubau wird parallel zur Adlerstrasse platziert und tritt in einen Dialog mit dem Bestandsbau. Die kompakte Ausgestaltung des Gebäudevolumens erlaubt es einen Grossteil der Parzelle für die Aussenräume und Neugestaltung des Parks freizuspielen.
Der Ersatzneubau bildet einen wichtigen Teil des Alterszentrums Adlergarten. Als freistehendes Volumen mit erheblichem Volumen ordnet es sich einerseits eindeutig dem bestehenden Hauptgebäude aus den 60er Jahren zu, definiert den zugehörigen Aussenraum und bildet ein Ensemble. Andererseits vermittelt es auch zwischen dem Bestandsbau und den neuen grossmassstäblichen Bauten in der Nachbarschaft.
Der Erweiterungsneubau besteht im Wesentlichen aus zwei Teilen:
Ein Verbindungsbau, der sich als repräsentativer Kopf zum Park mit einer Höhe von sieben Geschossen präsentiert und pro Etage die gemeinsamen Programmteile aufnimmt und den Ausblick auf die Parkanlage bietet.
Die Küchen, Wohn- und Aufenthaltsbereiche sind in diesem Volumen in einer Über-Eck Situation untergebracht und ermöglichen Ausblicke in verschiedene Richtungen. Die gestapelten Veranden erweitern diesen Innenraum nach Aussen.
Eine Pergola auf dem Dach bildet den oberen Abschluss und einen Treffpunkt für alle Bewohner.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Beatrice Dini, Cloé Sermier, Davide Lazzari, Valmira Haziri, Pablo Palomar
Die Parzelle zur Erweiterung der Schulanlage Entlisberg befindet sich im Zentrum des Quartiers Moos-Entlisberg in einer gering verdichteten Gartenstadtstruktur bestehend aus dreistöckigen Zeilenbauten mit Satteldach.bbbb
Das Grundstück hat aussergewöhnliche landschaftliche Qualitäten, entworfen vom Gartenarchitekten Gustav Amman. In diesem parkartigen Grünraum befindet sich die von flächiger Ausbildung geprägte Schulanlage von den Architekten Kräher, Bosshard & Forrer.
Im nördlichen Teil des Grundstücks wird der Schulgarten durch die Schule, aber auch durch die Gebäude der ABZ definiert, wobei die Genossenschaftsbauten als Fremdkörper in dem Strassengeviert wahrgenommen werden können. Die Linearität und Introvertiertheit des Gartens sind die Qualitäten dieses Raums. Dieser Ort bleibt ein linear abgeschlossener Hortus, während die übrigen Bebauungen durchlässig und offen zur Nachbarschaft sein sollen.
Im nördlichen Teil des Grundstücks wird der Schulgarten durch die Schule definiert. Die Linearität und Introvertiertheit des Gartens sind die Qualitäten dieses Raums. Dieser Ort bleibt ein linear abgeschlossener Hortus, während die übrigen Bebauungen durchlässig und offen zur Nachbarschaft sein sollen.
Mit der Position des neuen Gebäudes wird die Atmosphäre dieses kostbaren Raums bewahrt. Parallel zur bestehenden Schule wird eine dreigeschossige Zeile errichtet, die deren Typologie aufgreift und neu interpretiert.
Diese Strategie ermöglicht es, ein niedriges Gebäude beizubehalten und das Bild des Schulkomplexes im Quartier nicht zu zerstören.
Das Gebäude ist als leichte, pavillonartige Struktur aus Holz vorgesehen, die auf den Garten und die umgebende Landschaft reagiert und einen Gegenpol zu der der schweren, opaken Fassade der bestehenden Schule bildet.
Die Typologie reagiert auf die Bestehende, aber mit einer zeitgenössischen Interpretation der Architektur ohne diese zu überformen und im Laufe der Zeit abzuheben.
So ist auch der Neubau der Schule mit drei Clustern mit jeweils einer Erschliessungshalle als Verteiler vorgesehen.
Im Schnitt beschreibt das Gebäude die Form einer invertierten Kaskade. Das Erdgeschoss wird in der Ausdehnung reduziert, um die versiegelten Flächen zu verringern und mehr Freiraum zu schaffen und somit die Durchlässigkeit zum Garten zu stärken.
Im ersten Obergeschoss sind zwei Terrassen jeweils an den Gebäudeenden angeordnet. Diese Leerräume ermöglichen weiterhin den Durchblick zur Schule von Norden und erlauben gleichzeitig die Nutzung als Aussenschulzimmer und bilden eine Reminiszenz an die kleine Wiese der alten Schulanlage. Der Garten entwickelt sich auf diese Weise in der Vertikalen.
Die Fassade soll dem Gebäude Kohärenz und Sachlichkeit in Zusammenhang mit dem Programm bei gleichzeitiger Verhältnismässigkeit der Mittel unter Berücksichtigung von Nachhaltigkeitsaspekten verleihen.
Die verschiedenen strukturellen Elemente werden nach den spezifischen Anforderungen ausgewählt.
Die somit sichtbare Gebäudestruktur bildet das Grundgerüst des gesamten Gebäude. Weitere Elemente, wie der Laubengang, Sonnenschutz oder die der Photovoltaikelemente, werden als hinzugefügte Elemente ablesbar, bilden aber gleichzeitig einen nicht zu vernachlässigenden Teil, wie thermische Regulierung oder konstruktiven Holzschutz.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Beatrice Dini, Cloé Sermier, Davide Lazzari, Juan Colomina, Pablo Palomar
ingénieur civil: WaltGalmarini AG
Le quartier des Taconnets, prévu pour l’implantation du futur CO, bénéficie d’une situation stratégique dans le développement de la commune de Givisiez. La position du bâtiment permet de maintenir la perméabilité nord-sud ainsi que la continuité des mobilités douces sur l’axe est-ouest.
Le projet propose une nouvelle place urbaine à l’échelle du quartier. La volumétrie, telle que présentée, libère un maximum de surface au sol et permet ainsi la création de deux espaces aux atmosphères bien distinctes.
Le quartier des Taconnets, prévu pour l’implantation du futur CO, bénéficie d’une situation stratégique dans le développement de la commune de Givisiez. La position du bâtiment permet de maintenir la perméabilité nord-sud ainsi que la continuité des mobilités douces sur l’axe est-ouest.
Le projet propose une nouvelle place urbaine à l’échelle du quartier. La volumétrie, telle que présentée, libère un maximum de surface au sol et permet ainsi la création de deux espaces aux atmosphères bien distinctes.
Le programme du concours est organisé verticalement sur quatre niveaux hors sol et deux sous-sols dans un volume compact.
Le plan peut être schématisé dans sa lecture comme l’assemblage de trois éléments dont la partie centrale représente le cœur du projet. Cet espace est imaginé comme un grand foyer central, se déployant sur toute la hauteur du bâtiment. Ce vide permet l’apport de lumière naturelle et intègre des systèmes low-tech de ventilation.
Le bâtiment est conçu avec un concept structurel flexible qui permet l’évolution du bâtiment dans le temps. Du fait de la grille régulière de poteaux en béton et les treillis en bois, on évite ainsi des murs en voile de béton. Ce système facilite une possible réorganisation du programme pour répondre aux évolutions futures de l’enseignement.
Cette démarche s’inscrit aussi dans la recherche d’une esthétique de l’économie de moyen à-travers des principes constructifs rationnels et le concept mis en place.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Cloé Sermier, Davide Lazzari, Valmira Haziri, Selin Onay
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
planificateur CVS: Weinmann-Energies SA
planificateur E: Louis Richard Ingénieur Conseils SA
acousticien: Prona SA
La parcelle prévue pour l’implantation du futur centre pour les Sciences Humaines marque l’entrée Est du campus et dispose d’une importance majeure dans le développement identitaire du campus de L’UNIL.
La position du bâtiment se raccroche à la Méridienne et prolonge ainsi le réseau piétonnier existant. Le volume se pose tel un bâtiment-écran qui protège le cœur du campus et les édifices arrières des nuisances de la route et se présente le long de l’Avenue du Chablais comme un signe représentatif de la nouvelle identité forte souhaitée par l’UNIL.
Le rez-de-chaussée et l’espace d’entrée sont surélevés par des poteaux afin de conserver le talus naturel existant et permettre ainsi la perméabilité du nouvel espace vert au-dessous.
Le concept mis en place pour ce bâtiment propose une superposition verticale contenant les différentes parties du programme.
Le bâtiment accueille un programme mixte: auditoires, restaurant, salles de classes, espaces communs à tout le campus et bureaux pour les enseignants. Ces programmes sont empilés selon un principe de degré de privacité, du plus public au rez au plus privé. A mi-chemin, un belvédère sur le Léman permet la rencontre entre les deux types d’usagers du bâtiment.
Depuis l’extérieur, le projet se déploie comme une vitrine dans laquelle chaque activité est mise en valeur et visible depuis les différents niveaux. Cette architecture, support d’usages, offre une grande liberté d’appropriation.
A l'intérieur, le bâtiment génère un atrium en cascade inversée, favorisant la perméabilité et les synergies des différentes parties du programme au sein d’un même espace.
Le premier étage, avec sa double hauteur, est conçu à l’image d’une serre où les limites intérieures/ extérieures se diluent. Seul le positionnement des colonnes permet de délimiter les espaces des auditoires à l’aide de portes en verre en accordéon. Bien que les gradins soient fixes, ceux-ci sont conçus comme des objets posés sur la dalle, toujours dans l’idée d’une polyvalence de cet espace dans l’avenir.
Le foyer propose plusieurs espaces aux caractéristiques variables, qui peuvent être utilisés pour les échanges des étudiants.
Le deuxième étage permet une utilisation individuelle des salles de classe, mais offre aussi de la flexibilité et permet de regrouper plusieurs salles ensemble. Le réfectoire est conçu comme un espace ouvert pouvant être utilisé en dehors des horaires d’ouverture.
Les niveaux des bureaux sont imaginés comme une surface flexible utilisant une trame de poteaux en bois qui permet des adaptations par des cloisons légères.
Chaque matériau est utilisé selon ses spécificités techniques. Ainsi, pour les étages inférieurs, le système porteur principal est constitué de planchers-dalles en béton, appuyés sur des colonnes. Dans la partie supérieure du bâtiment et dans une recherche de gain de poids et d’économie des ressources, c’est une structure légère en bois qui est proposée. Cette dernière est suspendue à la grille de toiture et met en évidence la différence programmatique, de plus, le joint négatif créé par le belvédère ne fait que renforcer cette césure entre les deux systèmes.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Davide Lazzari, Valmira Haziri, Alicja Prusinska, Giulio Rosi
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
Im Erdgeschoss bildet die Sporthalle einen Filter zu dem Lärm der Gleise. In Richtung Süden nimmt das Erdgeschoss in Bezug zum dem Vorplatz den Eingangsbereich auf, der die Räume mit Sportnutzungen nach Ost und West bedient.
Der Grundriss des ersten Obergeschossen ist mit einem System von Patios gegliedert, welches verschiedene Bereiche definiert.
Die Patios dienen ausserdem dazu Licht in die innenliegenden Erschliessungsflächen zu bringen. Gleichzeitig können die Erschliessungsflächen so auch als Pausen- oder Aufenthaltsbereich für die Schüler, aber auch für Ausstellungen genutzt werden.
Die Erschliessungsflächen sind als wandelbare Räume und nicht als reine Korridore geplant. Diese ermöglichen auch Ausstellungen oder die Bildung von Lernlandschaften, wenn sie zu den zusammengeschalteten Schulräumen geöffnet werden.
Das Tragwerk setzt sich aus einem Gitter aus Hauptträgern und Sekundärstruktur zusammen, die auch die Geschossdecke bilden. Die Hauptträger sind als Vierendeelträger ausgebildet. Die Obergurte werden in den Korridorbereichen mit einem Dach als HBV-Konstruktion verbunden – so kann das Tragwerk in den druckbelasteten Bereichen von der Decke profitieren.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Laura Sanchis Estruch, Davide Lazzari, Vanesa Bijelic, Silvia Toninello, Marine Lachat, Kelvin Silva
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
architecte paysagiste: Plangrün AG
planificateur CVS: Eicher+Pauli AG
planificateur E: HKG Engineering AG
Die neue Schulanlage Saatlen stellt stadträumlich sowohl die Anbindung an den übergeordneten Grünzug Saatlen als auch die Lesbarkeit als Grünraum aus dem Quartier heraus sicher.
Eine angemessene Durchlässigkeit, im Sinne eines fliessenden Grünraumes aber auch differenzierter Anbindungen und angemessene stadträumlicher Bezüge zu den sehr unterschiedlichen Nachbarschaften bleiben erhalten oder werden neu hergestellt.
Das Prinzip für dieses Projekt ist die vier Schulen in einem Gebäude zu vereinen. Mit diesem Prinzip gelingt es eine effiziente Struktur mit einer starken Identität inmitten des Grünraums zu etablieren.
Auch wenn die Mischung des Programms im ersten Moment konfliktiv erscheint, so schafft man es mit der vorgeschlagenen Anordnung sowohl die Autonomie, für jeden Schulteil als auch Synergien zwischen allen Teilen des Programmes herzustellen.
Das Prinzip beruht auf vier autonomen Teilen, welche sich um einen zentralen Aussenraum sammeln und gemeinsame Programme teilen.
Die Fassade spiegelt das strukturelle Konzept wider. Horizontale Fassadenbänder mit Brüstungen lassen die innere Flexibilität und Möglichkeit der Veränderung der inneren Organisation erkennen.
Diese Bänder werden nur durch vier Momente unterbrochen, die im Plan ein Kreuz bilden und den wesentlichen Punkt des Projektes ausmachen. Die grossen Wandscheiben aus Beton sind auf den vertikalen Stützen aufgelagert und markieren die Eingänge und besonderen Programmteile des Gebäudes. Die orthogonal zur Fassade liegende Wandscheiben sind mit ihren « Balkenköpfen » an der Fassade wahrnehmbar.
Das gleiche Prinzip wurde auf den Innenhof übertragen, wo die grossen Wandträger mit runden Öffnungen zur Belichtung der Bibliothek perforiert wurden und von Kern zu Kern spannen und das Erdgeschoss stützenfrei halten.
Das gleiche Prinzip wurde auf den Innenhof übertragen, wo die grossen Wandträger mit runden Öffnungen zur Belichtung der Bibliothek perforiert wurden und von Kern zu Kern spannen und das Erdgeschoss stützenfrei halten.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Laura Sanchis Estruch, Maribal Gonzalez Arjona, Vanesa Bijelic
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
architecte paysagiste: Plangrün AG
planificateur CVS: Eicher+Pauli AG
planificateur E: Planwerkstatt Rüegg AG
L’implantation de l’extension du Tribunal Cantonal propose un volume autonome, respectueux des qualités paysagères du site et de la relation entretenue avec le bâtiment existant. Ce volume compact permet de maintenir une grande partie des espaces verts du parc de l’Hermitage et s’implante naturellement dans la pente du site sans en modifier la topographie naturelle.
La volumétrie compacte et élancée de l’extension contraste avec le bâtiment existant et permet de le détacher dans le temps. La dualité entre les deux volumes est accentuée par l’identité sculpturale de l’extension posée indépendamment dans le parc, dialoguant avec la massivité du bâtiment
La forme est définie par une série de facettes permettant de réduire le volume, d’éviter les fronts bâtis et de proposer des dégagements visuels depuis l’intérieur.
Le concept générateur du plan est définit par une forme hexagonale, décrivant une organisation Kahnienne, trois noyaux contenant les espaces servants au centre et les espaces servis en périphérie. Le projet propose d’explorer le concept de structures habitées, chaque éléments composant la structure principale de bâtiment contient un élément servant, ou définit une zone spécifique.
L’escalier principal est contenu dans l’espace central défini par les trois noyaux principaux, définissant une zone unitaire éclairée par un dispositif de lumière zénithale. Des refends en béton définissent les trois chanfreins du volume créant des belvédères ouverts sur le paysage sur plusieurs niveaux.
Le bâtiment est composé d’un socle et de quatre niveaux hors sol. Afin d’apporter de la lumière naturelle au sein du socle, le projet génère des doubles hauteurs ainsi que des décrochés qui se traduisent en coupe par des mezzanines. Les quatre étages supérieurs s’ouvrent sur le paysage. Le bâtiment est recouvert par une enveloppe qui aide à hiérarchiser et ainsi rendre intelligible les différentes parties du bâtiment en plan, mais aussi en coupe.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Laura Sanchis, Marina Esguerra Laudo, Yasha Rey-Ivan
coûts: Pragma Partenaires SA
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
architecte paysagiste: Atelier Plum / Samuel Enjolras
planificateur CVS: Olivier Zahn & Associés Sàrl, srg engineering Schumacher & CHIngS Ingénieurs SA
planificateur E: Louis Richard Ingénieurs Conseils SA
L’implantation du nouveau Collège se fait au sud du périmètre d’implantation, parallèlement à la Cours Roger-Bonvin. Cet emplacement est le point de convergence des trois axes principaux débouchant sur le site.
La position du nouvel édifice propose un espace public qui utilise le nouveau bâtiment comme volume représentatif. Le Collège forme, avec les autres volumes existants dans le site, un système de plein et de vides cohérent, qui s’adapte au site et intègre tous les éléments existants avec leurs différentes échelles et formes urbaines.
Le projet s’affirme par sa volumétrie comme un volume de référence en accord avec son programme et son statut public. Cette nouvelle construction est orientée vers le futur et propose ainsi un édifice nouveau à l’échelle du quartier, mais également de la ville. Cette proposition complète le dispositif déjà entamé le long des voies des CFF à l’est.
Le plan du rez-de-chaussée est organisé autour du foyer central qui articule tout le programme et relie les différentes entrées, situées sur les quatre cotés du bâtiment. Cette configuration permet à la fois de sectoriser l’édifice, mais apporte également de la fluidité et des liaisons entre tous les espaces extérieurs.
Les étages supérieurs accueillent le programme dit scolaire dans un plan libre transparent qui s’organise autour de quatre patios. La typologie du bâtiment a été pensée de manière à pouvoir être adaptée dans le temps pour répondre à de nouveaux besoins programmatiques.
L’escalier principal joue un rôle majeur dans le projet. Il relie les différents niveaux de manière spectaculaire et propose des vues sur les différents niveaux. Cet élément s’organise en « cascade » et permet de relier le foyer central aux niveaux supérieurs. Cet élément se connecte avec les espaces de circulation et de détente organisés ponctuellement à chaque niveau. Pour faciliter les déplacements des élèves et améliorer la fluidité verticale, trois cages d’escaliers supplémentaires sont positionnées en façade de chaque côté du bâtiment.
La façade du bâtiment exprime logiquement le concept d’empilement, la structure et la mixité du programme. Le projet utilise une peau composée de verre et des éléments massifs horizontaux qui proposent une lecture uniforme. Les horizontales reposent sur des nervures structurelles de hauteurs variables selon les besoins spécifiques de chaque programme. Ce principe permet ainsi de répondre simplement aux grandes portées des salles de gymnastique et de l’aula en développant une hauteur de sommiers plus importante. La transparence de la façade permet de laisser entrevoir les activités internes au bâtiment.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Laura Sanchis Estruch, Marina Esguerra Laudo
Le périmètre, pour le concours du nouveau groupe scolaire s’inscrit dans un ensemble fortement bâti formé, à la fois, par des futurs bâtiments aux volumétries imposantes et des édifices existants. Les volumes du contexte et la situation particulière du périmètre à l’intérieur de l’îlot influencent fortement le caractère du bâtiment.
L’implantation du bâtiment génère deux espaces libres. Un espace plus urbain défini conjointement avec la tour à l’échelle du quartier et un deuxième à caractère plus introverti dédié au programme scolaire. Le projet souhaite donc, à travers sa typologie, relier ces deux espaces. Ce principe est renforcé par le concept générateur du projet qui divise le plan en deux afin de créer un espace perméable, horizontal et vertical à la fois.
Le plan du projet est organisé autour du grand espace transparent qui est une extension horizontale des aménagements extérieurs. Pour renforcer cette idée, les deux entrées principales du bâtiment sont mises en évidence avec deux préaux couverts. L’espace central de l’édifice est le cœur du bâtiment. En plus de distribuer l’ensemble du bâtiment verticalement, il apporte de la lumière et relie l’ensemble du programme.
Chaque niveau est sectorisé en deux parties autour du vide central. Les salles de classe sont organisées par groupes de quatre et libèrent un espace polyvalent central de rencontre. Cet espace est baigné de lumière naturelle et propose des vues sur le contexte, mais aussi vers l’espace commun central.
La partie centrale du plan reçoit un programme spécial, disponible pour l’ensemble du bâtiment tels que ateliers et autres espaces communs.
En plus des deux places proposées au niveau du rez, un espace de jeux sur la toiture est accessible aussi bien par les élèves que par les habitants du quartier et offre l’opportunité d’un lieu d’activités d’exception.
L’enveloppe du projet propose de mettre en évidence l’organisation interne du projet. Ainsi les lignes horizontales du bâtiment sont mises en valeur et complétées par les lignes verticales des salles centrales. Pour accentuer la plasticité du bâtiment et proposer une lecture simple, le projet prévoit l’utilisation de deux matériaux pour l’enveloppe: le béton pour la structure et le verre comme remplissage. Les coursives renforcent l’élégance de ce bâtiment tout en accentuant son caractère urbain. Le niveau de la toiture reprend la trame de la façade et propose une grille sur laquelle des plantes grimpantes pourront se développer.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Laura Sanchis Estruch
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
Le programme est organisé dans un seul volume très compact en dialogue avec les autres bâtiments du complexe scolaire. Pour préserver la configuration existante, le nouvel édifice s'inscrit dans la partie nord du site et vient ainsi fermer l'ensemble.
Le bâtiment, de forme carrée, s’érige perpendiculaire et en retrait par rapport à la salle de sport, se mettant en relation avec la salle de gymnastique à travers le préau couvert venant ainsi renforcer son entrée.
L’organisation du bâtiment dans une forme orthogonale, le carré, permet de maximiser l’orientation vers le sud-ouest et la vue sur le paysage.
Le rez-de-chaussée se caractérise par un socle en contact avec le terrain accueillant l'entrée et les vestiaires. Le deuxième niveau est conçu comme un plan libre, permettant d’organiser librement les deux bassins, ainsi que les espaces de détente.
Avec la zone des bassins au niveau supérieur, les utilisateurs sont mis à l'écart de la rue et du programme de l'école sans renoncer aux vues sur le paysage et l'orientation.
Les noyaux structuraux contenant les services aux étages sont conçus comme une structure habitée. Leur position en façade permet d’orienter les dégagements visuels de chaque bassin vers un angle différent du bâtiment, ouvrant sur un paysage spécifique.
La toiture génère la singularité du bâtiment, pensée comme une couverture unitaire permettant d’unifier les différents bassins d’un seul geste. Elle est composée de poutres en bois bi-directionnelles qui génèrent un dispositif de lumière zénithale pour apporter une lumière diffuse dans les bassins. Ces éléments qui la composent serviront également à l’acoustique du bâtiment ainsi que pour passer les installations techniques à l’intérieur.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Pieràngela Humet Pujolà
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
planificateur CVSE: Energestion SA, Ingénieurs conseils SIA, Zanetti Ingénieurs-Conseils
Le site s’inscrit dans le centre urbain de la ville de Lausanne. Proche du centre-ville et de la gare, la parcelle bénéficie toutefois d’un dégagement visuel sur le lac Léman.
Le projet propose une implantation sur la partie sud-ouest du site en contre-bas, afin de mettre en valeur le dégagement offert par cette parcelle, tout en adoptant une posture résolument urbaine, à l’échelle de la ville de Lausanne.
Le volume émergent, composé de six arêtes, ne définit pas de façade principale, mais plutôt une multitude de relations avec le contexte environnant. Avec cette forme, chacune des entrées est accessible sur une façade qui lui est propre, à un niveau indépendant.
Son identité pavillonnaire visible depuis le plateau et s’inspirant de bâtiments présents dans le site, contraste avec la vision que l’on se fait de l’édifice depuis l’avenue du Belvédère
Le plan s’organise comme un mouvement continu atour d’un noyau central depuis lequel de multiples points de contacts avec l’extérieur sont possibles, qu’ils soient physiques ou visuels.
Cet espace central comprend deux escaliers sculpturaux qui tournent autour d’un vide baigné de lumière naturelle. Les espaces d’enseignement tels que les salles de classe, sont proposés en périphérie du projet et rayonnent autour du vide central.
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Mathilde Loiseau, Julien Graf, Laura Sanchis Estruch
ingénieur: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
Der Neubau fungiert als Abschluss gegen das Terrain nach Südwesten. Die Nordost-Fassade wird als Hauptfassade im Beziehung mit dem Aussenraum ausgebildet.
Die reduzierte Erscheinung des Gebäudes widerspiegelt sowohl die eine ein- fache Infrastrukturbaute als auch ein gewisses Mass an Repräsentativität.
Die exaltierte Form des neuen Volumens ist durch das Konzept der Hallentrennenwände geprägt. Die Struktur, Hubtechnik und Raum für die Hubwände bildet sich nach aussen ab und wird übersteigert, um auch weitere Elemente aufzunehmen. Diese Bügel fungieren als vertikale Verbinder durch alle Geschosse.
TEXT
Cristina Gonzalo Nogués, Markus Weck, Marco Neri avec:
Valentin Schmid
ingénieur civil: Muttoni et Fernández, Ingénieurs Conseils SA
planificateur CVS: Eicher+Pauli AG
planificateur E: Enerpeak AG
GNWA - Gonzalo Neri & Weck Architekten GmbH
Förlibuckstrasse 10
8005 Zürich, SCHWEIZ
mail@gnwa.ch
Mähler & Brandt GbR
Carina Mähler / Dominic Brandt
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